HOMÉOPATHIE ET ECONOMIE

Je suis revenue du Japon avec une bronchite et une infection intestinale.

J'ai attendu une semaine avant de consulter mon généraliste qui m'a prescrit un sirop à  la morphine (le dextromethorphane bromhydrate) alors que ces produits opiacés entraînent  beaucoup de plaintes auprès des laboratoires aux USA pour cause d'addiction et de décès. 

J'ai ensuite dû subir une nouvelle extraction dentaire qui s'est heureusement fort bien passée.  Comme il se doit, le dentiste m'a prescrit un anti-douleur et des bains de bouche.

J'ai ensuite réalisé chez le pharmacien que ce médicament contenait du dioxyde de titane (le E171) et comme il m'en restait,  je l'ai refusé. 

Quant à la solution je devais 2,20 € puis 0,50 € prélevé par ma mutuelle alors que le produit coûte 2,65 €. Les prix sont libres et il fallait plusieurs flacons.

Je trouble cela scandaleux de la part de personnes morales qui ne recherchent que le commerce et le profit avec la bénédiction des autorités responsables. Et ensuite on essaiera de culpabiliser les patients.

Pour ma part j'ai utilisé quelques gouttes d'eau de Javel dans de l'eau pour le rinçage et j'ai retrouvé un tube périmé de staphysagria depuis 2015. Comme j'ai senti une petite douleur, j'ai voulu tester ce traitement homéopathique. Je n'ai utilisé qu'une pilule et la douleur a immédiatement disparu.

Je me souviens aussi lorsque j'etais jeune avoir été traitée par un oculiste avec de l'homéopathie pour un chalazion qui était revenu après une intervention chirurgicale. 

Ces médicaments ne sont donc pas de simples bonbons mais le lobby des laboratoires doit être combattu.  Ce ne peut être du commerce et il faut réserver les traitements puissants à des pathologies sévères qui d'ailleurs ne le sont pas toujours. Les professionnels ne sont pas toujours bien honnêtes.

Ma mère se soignait à l'homéopathie et se portait très bien jusqu'à-ce que son médecin choisisse d'aller travailler comme contrôleur à la Sécurité Sociale et elle a depuis periclité

Lorsque j'ai été opérée d'un cancer du sein en 1993 (etait-ce bien justifié ? Je me le demande encore), j'ai milité à l'ADMD (ASSOCIATION POUR LE DROIT DE MOURIR DANS LA DIGNITÉ ) pour que  les traitements anti-douleurs soient appliqués (ils ne l'étaient pas encore ), Aujourd'hui les médecins abusent et ne se posent plus de question. Je demande comme c'est indiqué dans déclaration de volontés de1995 la possibilité de m'euthanasier moi-même mais je refuse aujourd'hui toute loi qui donnerait ce droit à un professionnel de santé malgré toutes les garanties qu'on pourra introduire.

Les  politiques font croire ce qu'ils veulent sous la pression des lobbies parce qu'ils sont soumis et peu courageux. Ainsi le glyphosate est dangereux mais j'entends toujours de la publicité pour ce produit dans les journaux télévisés. 

C'est au citoyen qu'il appartient de veiller à sa santé et de décider pour lui-même. Il a son libre-arbitre et doit l'exercer.

Depuis ces traitements j'ai constaté que mon taux de glycémie avait bien augmenté et qu'il faut des semaines pour retrouver son taux normal mais cela fait bien sûr vendre des médicaments hallopathiques.