/image%2F0558396%2F20231130%2Fob_658831_colette-laguna-miscanti.JPG)
REFLEXION 12
Le chant peut s'éteindre
Comme un arbre s'éteint
Mais le chant continue
Comme dure la forêt
(Poème dans le métro)
ELIMINATION DE SEGOLENE ROYAL - MISSION ACCOMPLIE
TROP BELLE POUR TOI
On a réussi à éliminer Ségolène Royal.
Sous des dehors acceptables (parachutage alors que la candidate était dans sa région et avait mis en place sa stagiaire), il y avait le désir de souillure, le plaisir de salir et d'éliminer, le sentiment d'infériorité enfoui au fond de soi , dans les tréfonds de l'âme, et qu'on ne veut pas voir.
Il y a une jouissance certaine à faire du mal et à détruire, à se réjouir du malheur d'autrui et qui entraîne le rejet.
Pour tous ceux qui ont participé à ce massacre depuis le début, il ne s'agit pas de la défaite d'une candidate mais de la défaite de soi-même.
La caricature, la félonie de Falorni, la vilénie, les moqueries, rien ne lui a été épargné.
Droite et fière devant ses adversaires, elle a résisté et montré sa force et son courage. Elle a accompli son devoir et mérite le respect.
Il reste la honte de ses détracteurs qui le paieront un jour comme elle l'a dit en citant Victor Hugo aux côtés du maire de la Rochelle.
VALERIE TRIERWEILER ET SEGOLENE ROYAL
Comment la 2e compagne de François Hollande, Valérie Trierweiler, peut-elle soutenir le candidat socialiste dissident à la Rochelle, le jour même où le Président donnait son soutien à Ségolène Royal ?
Il s'agit d'un comportement indécent et indigne qui ne peut que la desservir, une attitude mesquine et peu élégante de sa part alors que Ségolène Royal n'a pas hésité à soutenir le candidat président et qui révèle un sentiment d'infériorité peu reluisant.
C'est un coup de poignard pitoyable et j'espère que les électeurs de la Rochelle ne s'y tromperont pas et rejetteront cette conduite en soutenant la candidate légitime de la Rochelle.
JUBILE REINE - LES SIGNES DU POUVOIR
Quelques jours après l'investiture de François Hollande, la Reine d'Angleterre fête ses 60 ans de règne.
Malgré son âge (86 ans), ou à cause de lui, la reine Elisabeth II ne s'est pas assise sur le fauteuil qui lui avait été préparé contrairement à François Hollande et est restée debout plus de 2 heures. Bravo !
C'est la marque de la royauté qui sait se passer de dorures, signes dérisoire du pouvoir. Le châle, critiqué par Karl Largarfeld, lui allait très bien et était un signe d'élégance.
