/image%2F0558396%2F20231130%2Fob_658831_colette-laguna-miscanti.JPG)
VOYAGES AVEC UN ANE 2 de Robert Louis STEVENSON
Stevenson raconte les péripéties de son voyage, la difficulté de poser le bât, de charger le baudet et l'art de le conduire.
Il s'est perdu dans le haut Gévaudan un jour de pluie et les paysans lui indiquèrent un mauvais chemin en se barricadant derrière leurs maisons.
Cela m'a rappelé les difficultés que l'on a lorsqu'on cherche sa route dans une ville que l'on ne connaît pas. Je cherchais l'année dernière un centre commercial près de Béziers et un automobiliste que j'interrogeais et que je retardais certainement m'a envoyée dans la direction opposée. Cela existe donc encore.
Il craignait par dessus tout les chiens plus que les loups. Voici ce qu'il en dit :
VOYAGES AVEC UN ANE de Robert Louis STEVENSON
J'ai lu avec beaucoup de plaisir l'Ile au trésor de Robert Louis Stevenson auprès des enfants de l'école primaire et j'ai voulu en savoir plus sur cet Ecossais protestant qui a voulu découvrir les Cévennes en 1878.
Son voyage a duré 12 jours. Il est parti à pied du Monastier le 22 septembre, a traversé le Gévaudan, le Pont-de-Montvert, le pays des Camisards, Florac et est arrivé à Saint-Jean-du-Gard le 3 octobre 1878 où il a revendu son âne Modestine pour 35 francs.
Il s'est fait fabriquer un sac de couchage car il n'y en avait pas à cette époque : "une sorte de saucisson couvert de toile à bâche verte imperméable, et doublé d'une peau de mouton bleue" car celui qui voyage à pied n'est pas toujours sûr de trouver une auberge.
Voici le merveilleux récit d'une nuit à la belle étoile :
